Je déteste les moustiques, mais… - Éditions de l'Isatis

CLIN D’OEIL no 44 | À partir de 2 ans | album illustré en 4 couleurs | 20 cm x 20 cm • 24 pages | ISBN Papier : 978-2-925088-61-5 • 13,95$ | ISBN PDF : 978-2-925088-62-2 • 8,99 $| Parution en avril 2022

Clin d'œil

Je déteste les moustiques, mais…

Écrit par Mireille Messier

Illustré par Catherine Petit

Collection Clin d'œil

À partir de 2 ans

 

Papi les appelle des moustiques.
Maman des maringouins.
Moi, je les déteste !

S’il est vrai que les moustiques peuvent gâcher une belle journée d’été, ils sont aussi utiles et nécessaires à la vie. Les moustiques pollinisent les fleurs du jardin, ainsi que celles des arbres fruitiers. Les grenouilles s’en font un régal, les oiseaux s’en nourrissent. Même les chauves-souris les gobent la nuit!

Oui, les moustiques sont indispensables ! Alors on les endure, même si eux nous aiment trop! Bzz-bzz-bzz!

Mots-clés
humour, insectes, mini documentaire.

Prix littérairesFinaliste, Prix Peuplier 2023
Sélection Communication-Jeunesse, mai 2022

Revue de presse

Avec Je déteste les moustiques, mais…, le tandem Mireille Messier et Catherine Petit initie plutôt les enfants au rôle écologique du moustique, insecte bien souvent agaçant et indésirable. Dans cet album, on suit ainsi une petite fille qui déteste les moustiques, mais qui découvre, au fil des pages, qu’ils sont indispensables à la survie de notre écosys­tème. Les enfants apprendront, entre autres, qu’ils représentent le mets de prédilection des oiseaux, des invertébrés et des poissons, mais qu’ils sont également des pollinisateurs utiles à la floraison et, par le fait même, à l’alimentation des humains. Le texte habile de Mireille Messier, entre narration et dialogue (idéal pour la lecture à haute voix), permettra aux enfants de s’ouvrir à une nouvelle perspective sur les moustiques et d’accepter que, même s’ils cherchent à nous piquer toute la journée, il est nécessaire de s’adapter à leur présence utile. Les charmantes illustrations de Catherine Petit, à la fois réalistes et humoristiques, sauront, quant à elles, faire rire les enfants et donner le gout du printemps et des activités extérieures. Parfait pour sensibi­liser les enfants au rôle primordial des insectes!
Émilie Mercure, Lurelu, vol. 45, no 2, automne 2022

Rares sont ceux qui apprécient les moustiques, incluant ces fameux maringouins, alias les ennemis de nos étés. C’est d’ailleurs le cas pour la fillette de cette mignonne histoire qui les qualifie carrément de vampires ailés déterminés à ruiner ses journées ! Pourtant, aussi désagréables soient-ils, les moustiques sont utiles et nécessaires à la vie. Au même rythme que la jeune narratrice de cet album, les petits lecteurs pourront découvrir le rôle des moustiques dans la pollinisation des fleurs et l’alimentation des oiseaux. Un charmant petit album aux superbes illustrations vives et colorées, qui ne pourrait être plus à-propos en cette période estivale !
Anne-Marie Lobbe, Journal de Montréal

Une histoire ravissante et illustrée avec humour et réalisme.
Canal M – Aux Quotidiens -26 juillet 2022 [1h09]

C’est le retour des maringouins! 🦟

Pour l’occasion, je vous suggère « Je déteste les moustiques mais… » un texte informatif et poétique vraiment intéressant. On y découvre l’importance des moustiques sur la faune et la flore.

J’ai d’ailleurs appris lors de ma lecture que les moustiques pollinisent des fleurs. Chose que j’ignorais!

Le tout est tendrement illustré aux crayons de bois. C’est magnifique!

À lire pour se rappeler que même s’ils sont désagréables lorsqu’ils piquent, ces insectes sont indispensables.
Kristelle déniche

DÉTESTABLES, MAIS… UTILES Avec le retour de la chaleur et du beau temps, la nature reprend vie. Les fleurs poussent, le gazon verdit, les oiseaux chantent et… les moustiques piquent, au grand dam de la jeune héroïne de ce sympathique album. Elle a beau les chasser, ces « petits vampires ailés » sont déterminés à ruiner sa journée. Or, ces insectes souvent désagréables sont très utiles et nécessaires à la vie, découvre-t-elle. Les oiseaux, les grenouilles, les fleurs et même les extra-terrestres le confirment au fil des pages.
Véronique Larocque, La Presse, 4 mai