La guerre au quotidien
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Tout commence par un conflit
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Ian et Jean étaient amis depuis toujours. Comme des frères, ils avaient partagé leur enfance. Mais un jour, les deux garçons se disputèrent pour une bêtise. Leur chicane s’envenima. Pour se séparer de Jean, Ian creusa un fossé. Ensuite, il installa une clôture. Et pour finir, il construisit un haut mur. Ian et Jean devinrent des frères ennemis. Dans leurs cœurs aussi, il y avait un mur. Une histoire triste qui concerne tout le monde.
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Le journal de guerre d’un enfant-soldat
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«Je m’appelle Emilio Ospina Rodriguez. J’ai quinze ans, j’habite la zone rurale de La Florida près de Mocoa en Colombie. À treize ans, j’ai été enlevé de mon village par un commando de l’Armée révolutionnaire de Colombie. Je suis devenu un enfant soldat. Les mots me manquent pour décrire toutes mes peurs et mes angoisses durant ces années de combat. Je relis quelques pages de mon journal personnel en les mouillant de mes larmes. Garder le silence sur les douleurs de mon coeur et de mon corps m’aurait rendu fou.» |
Quand la guerre bouleverse la vie des enfants
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Pour Marwa et Ahmad, rien ne sera plus jamais pareil. La folie des hommes a croisé leur chemin et a laissé des cicatrices profondes dans leur corps et dans leur cœur. Toutefois, les deux amis ne manquent pas de courage, et chacun à son rythme, petit à petit, ils réapprendront à vivre. |
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Pendant la Première Guerre mondiale, un chevreau nommé Billy a été adopté par le 5e bataillon des Forces armées canadiennes et a traversé l’océan pour faire partie de l’effort de guerre. Dans cet album, on suit Billy depuis sa petite ville de Saskatchewan jusqu’aux tranchées du front en Europe, à travers des moments tristes, des moments de camaraderie et des moments de fête. L’histoire extraordinaire d’un chevreau devenu un héros de guerre |
Les conséquences de la guerre
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Quand on doit tout quitter et tout perdre, il reste l’espoir
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Cet exigeant texte en vers est dédié à toutes les femmes arméniennes, juives, kosovars, pakistanaises, palestiniennes, soudanaises, tibétaines et autres qui sont parties de chez elles en emportant leur clé et qui ont trouvé le courage de tout recommencer ailleurs. |
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Eunice immigre au Canada avec son père et sa grand-mère. Sa mère ne peut pas les rejoindre tout de suite. Eunice va alors ressentir un tel manque qu’elle en perdra la parole et vit un blocage total. On va suivre Eunice dans son attente, dans son quotidien, dans sa tête, dans ses dessins… Jusqu’au jour où sa maman revient…
Un album sur l’immigration et les traumatismes que peuvent subir les enfants.
Une histoire profonde sur la différence, le chagrin et la mélancolie que peuvent ressentir les enfants immigrés. |
Les blessures de guerre
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Mais rien de sera plus jamais pareil
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Un papa est parti à la guerre depuis longtemps, trop longtemps, mais son avion atterrit aujourd’hui même. Son garçon est fébrile : papa va-t-il le reconnaître après tout ce temps? Pourront-ils encore être complices comme avant? Le soldat n’est pas moins inquiet. Il a laissé beaucoup trop de lui-même à la guerre et les choses ne seront plus jamais comme avant. Mais l’amour qui unit le père et le fils est intact.
Un album important sur l’absence qui s’étire, l’attente, la peur et le retour à la maison des militaires qui sont parfois traumatisés et blessés. |
La guerre peut continuer longtemps pour certains
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Papa est en prison parce qu’il a dénoncé le manque de liberté dans le pays où il vit. Il est maintenant bien seul, coincé entre les quatre murs gris de sa cellule. Papa tente d’organiser sa nouvelle routine, de s’adapter en nourrissant son imagination avec peu de choses.
Mais son jour préféré, c’est le lundi, quand il reçoit du courrier de ses enfants qui lui font de merveilleux dessins, pleins de couleurs. Ces dessins font le bonheur de papa et égaient sa cellule triste.
Et si ces dessins étaient la clé de la liberté ! |
Et pour ne jamais oublier
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Parce que nous avons tous la même origine
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Madame Claire est une nouvelle stagiaire qui doit remplacer de tout urgence l’enseignante de la classe de Lou. Pour se familiariser avec ses élèves, elle a eu la bonne idée de leur demander de se présenter.
À tour de rôle Aimé, Meng-Lin, Hamad, Saita et les autres se présentent et, chaque fois, Madame Claire insiste et leur demande d’où ils viennent ?
« Moi, madame, je viens d’ici »
« Voyez-vous, les enfants, vous êtes tous nés ici, et c’est très bien. Il faut bien naître quelque part. Mais nous venons aussi d’ailleurs. Nos parents, nos ancêtres, viennent presque toujours d’ailleurs. Et nous devons être fiers de nos origines. »
Heureusement Lou se souvient de la leçon de la semaine dernière! Nous venons tous de l’Afrique, le berceau de l’humanité! |